Chaque roman de la série SELEN l’étalon blanc est calibré et écrit selon les besoins des jeunes lecteurs :
☞ environ 150 pages de texte (130 000 à 150 000 signes) par livre, pour ne pas décourager ;
☞ des chapitres délibérément courts, pour faciliter la progression dans le livre ;
☞ une clôture de chapitre en teasing, pour donner envie de tourner la page ;
☞ l’emploi du présent, pour un récit plus vivant ;
☞ des phrases relativement courtes et simples sur le plan grammatical, pour une lecture aisée ;
☞ des dialogues proches de la langue parlée, pour plus de crédibilité ;
☞ un vocabulaire choisi avec soin, pour rester accessible, sans pour autant sacrifier la précision des termes équestres (bien connus des jeunes cavaliers) ni se priver, ponctuellement, de descriptions plus riches et lyriques (car le rêve fait aussi partie des belles histoires de chevaux, et parce que la lecture aide à progresser en Français par l’acquisition de nouveaux mots).
Bref, je m’astreins aux mêmes règles d’écriture que RL Stine, l’auteur des best-seller « Chair de poule » bien connus des enfants… L’onirisme et la passion en plus. Les romans de la série SELEN l’étalon blanc se veulent « lecture plaisir », par opposition aux lectures imposées à l’école ou au collège. Il suffit parfois d’un déclic pour donner le goût de lire : je serais très heureuse si les aventures de Selen et Marie y contribuent !